Sujet: Porte N°2 - La Porte du malheur Mar 8 Fév - 1:33
Scène 1: La Première partie du jeu diabolique
Acte 1- La Survenue du genre humain
D’un pas lent et monotone, il avançait dans le paysage long et éternel de Ame no Kuni, une légère bruine humectait son visage de manière divine, le regard perdu dans l’infini, il se demandait encore comment un homme de son niveau avait put s’abaisser à de tels bassesses et aller lutter contre de parfaites inconnue, qui n’était en aucun cas digne de confiance, qu’est-ce qui l’y avait poussé ?
L’excitation du combat ? La curiosité ? Peut-être…Était-ce peut-être également le fait de défendre l’honneur de la nation ardente devant les autres villages. Il ferma les yeux quelques instants et repensa avec attention la venue de ce messager. La fatigue et l’ennui le prenait en tenaille, sa tête vacillait et formait un magnifique huit, signe parfait de la symétrie, pourquoi être Hokage était-il si ennuyant ? Il se le demandait bien souvent, il se rappelait quand il était monté au pouvoir, quand il avait instauré ces nombreuses règles. Konoha renaissait de ces cendres plus grande, plus forte, plus motivée que jamais à prendre le pouvoir de ce monde. Sa pensée utopiste fut troublé par la venue d’un jeune homme qui lui était inconnu, ce même humain approcha de lui, lui tendit une lettre et disparut dans un écran de fumée…Étrange…Comment un homme avait-il put passer à travers les tenailles de sa garde rapprochée ?...Ao ne le savait pas, mais ces subordonnées subiraient les conséquences de leurs incompétences.
Curieux, il observa la lettre, puis, d’une main impatiente, il déchira le haut de l’enveloppe et y découvrit un texte, qui, à sa simple vue, inspirait mystère et illusion, qu’il lu d’une traite, cet écrit était court mais résumait le principal thème, l’auteur avait évité, heureusement, de s’encombrer de formules philosophiques inutiles.
Il devait donc se rendre dans un lieu qu’il devait trouver grâce à cette dîtes lettre, puis combattre avec un acolyte encore inconnu…Pourquoi pas ?...Il avait beaucoup de subordonnées à qui il pourrait attribuer tout ce boulot…Un petit combat de temps en temps, ça dérouille.
Son chemin continua, traversant maintes villages appauvrit par les guerres d’antan, Ame…Une nation qui avait subit de lourdes conséquences pour avoir été défait par les fiers ninjas de Konoha, Ame…Une nation de perdants, de lâches et qui le restera, car aucunes nations digne de ce nom ne se fait défaire de la sorte et en ressors avec tant de catastrophes.
Cela faisait longtemps qu’il ne s’était pas battu avec des adversaires dignes de ce nom, lui, le Godaime Hokage, l’homme auquel on vantait tant d’exploits. Peut de personnes connaissaient son style de combat, on dit que son ascension fut extrêmement rapide, qu’il se battit vraiment dans les rangs des services spéciaux et tout le monde le sait bien, ce qui se fait là bas, cela y reste….Ce sera donc en quelque sorte…Une surprise.
Il approchait du lieu désigné mais tout d’abord, il devait traversé le village d’Ame no Kuni, un village qui tentait tant bien que mal de rester dans la moyenne, leurs efforts étaient vains, il resterait toutes leurs vies en dessous des grands de ce monde…La foule s’agglutinait autour de lui, les enfants courraient pieds nues à même le sol, des mendiants parcouraient les rues à la recherche d’une quelconque petite pièce…Quel honte, se disait-il, quel honte.
Il arrivait près du lieu de rendez-vous, sa curiosité était à son paroxysme, il ne savait pas sur quoi il allait tombé, peut-être était-ce un guet apens, peut-être était-ce un piège, peut-être qu’il allait mourir, il ne le savait pas mais franchement il s’en fichait, son intuition l’avait poussé. Alors qu’il arpentait une colline non loin, il put enfin apercevoir son objectif, au loin, une porte immense se tenait majestueusement, dirigeant le monde par sa grandeur…Il était impatient…Il accéléra, un furtif sourire apparut sur son visage. Il arriva enfin près de ce portail, il tenta un regard vers les hauteurs et put apercevoir à l’extrémité de ce porche, un symbole, un kanji, « Malheur », sympathique, se dit-il, cela promettait de ne pas être de tout repos…Un bruit…Un regard, un geste, une parole….Une ombre apparut non loin de lui, un parole brève sortie de sa bouche.
« Déclines ton identité…Ne fais pas de mouvements que tu pourrais regretter. »
Qui pouvait bien être ce mystérieux inconnu, qui allait peut-être l’accompagner dans la mort ou dans la gloire.
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Sujet: Re: Porte N°2 - La Porte du malheur Mar 8 Fév - 9:35
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Sasuke Uchiha
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Sujet: Re: Porte N°2 - La Porte du malheur Mar 8 Fév - 22:08
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Sujet: Re: Porte N°2 - La Porte du malheur Mar 8 Fév - 22:14
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Sujet: Re: Porte N°2 - La Porte du malheur Mer 9 Fév - 1:09
[quote="Ao Yakamashi"]
Scène 1: La Première partie du jeu diabolique
Acte 2- Le destin mènera-t-il à la chance ou au désarroi ?
Ao, le regard méprisant, observait cet être qui se tenait droit devant lui, le mépris le prenait…Il le regardait de haut et ne lui exprimait aucun signe de respect à lui, un homme qui avait quitté sa patrie, sa nation, comment le savait-il ? Ao devenait-il devin ?...Ce n’était pas vraiment très dur, cet être, qui se tenait devant lui avec arrogance, ne portait pas de bandeau, aucun signe distinctif d’un quelconque village, ce qui faisait de lui un être méprisable, qui ne méritait pas qu’on s’intéresse à lui.
La curiosité le prit tout de même sur ses origines, était-il un déserteur ? Un des membres de ces sectes fanatiques, qui croyait pouvoir changer le monde avec des balivernes ?...Il ne le savait pas mais cela l’intriguait, Ao allait combattre avec un inconnu et cela le dérangeait, quoi que…Au moins si ce personnage allait l’attaquer, il le regretterait amèrement. Alors qu’Ao observait cette personne, il entendit un bruit, une voix calme qui provenait de son compagnon de fortune…Ao comprit…La rage monta en lui quand il entendit la suite, comment cet homme pouvait manquer autant de respect à un inconnu, ce couard ne connaitrai pas les fondements des règles ? Il n’allait pas bien s’entendre, cette aventure n’allait pas être si sympathique que cela. Ao tenta un regard vers la porte puis dit :
« Saleté…Ne manque pas de respect envers les inconnues, toi qui a renié ta patrie, ta nation, si cela ne tenait qu’à moi, je me serais déjà débarrassé de toi , mais comme tu l’as remarqué, pour l’instant, nous sommes obligé de nous entendre…Trêves de balivernes, entrons. »
D’un geste brusque et violent, il poussa la porte et pénétra dans cet antre mystérieux. L’obscurité, le noir, la nuit, par cette gradation ascendante, on peut remarquer qu’Ao était bel et bien tombé dans une pièce comme qui dirait « glauque », maintes torches étaient éclairées sur les parois, mais cela ne permettait pas de voir précisément les traits des détails de cette pièce.
Il regarda derrière lui pour voir où en était son mystérieux acolyte, l’obscurité ne lui permit pas de savoir pleinement si son compagnon était dans la salle, cette personne pouvait bel et bien être un allié comme un ennemi et ce côté déserteur chez ce personnage ne rassura pas Ao…Il en était sur…Au moindre mouvement brusque de ce personnage, il le tuerai…
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Sujet: Re: Porte N°2 - La Porte du malheur Mer 9 Fév - 1:55
La chance, un mot bien vague pour en assimiler tout le contenu. Avoir de la chance peut signifier être tombé à un endroit qui vous donne beaucoup de plaisir, de la joie, du bonheur, ou alors la chance, rejoint de très prêt le hasard. Un jeu de chance ou il y a un pourcentage pour gagner. Vous m'avez compris ? Qu'allait être le déroulement de cette salle ?
Tout devint noir, et redevint lumineux. dans cette aucun adversaire à tué, mais plus vos méninges à agiter. Regardez au fonde la salle. A première vue une énorme cage suspendu à un fil de fer avec en dessous de la lave, et accroché dans cette cage une clé. Certainement la clé pour franchir cette épreuve. La cage est fait d'un alliage inviolable par les plus gros ninjutsu. Alliage tissé de plusieurs sorte afin de ne pouvoir en aucun cas faire passer votre main. Impossible donc de prendre la clé de cette cage directement. Le mécanisme est incassable et la serrure apposée est très spéciale, impossible à violée.
De l'autre côté de la salle, à gauche de la porte d'entrée, un énorme levier avec marqué dessus : "Fait jaillir de la lave vers le haut là où il y en a." tentez votre chance a tester le levier si l'envie vous le prend, mais vous pourriez rester bloquer dans cette salle à tout jamais.
De l'autre côté, du côté droite de la porte, un autre levier également avec comme inscription dessus : "Aspiration totale de la lave avec évacuation aléatoire dans un endroit précis de la pièce."
Si vous avancez, vous pouvez aussi voir une sorte d'interrupteur au sol, avec écrit dessus "appuyez et c'est gagné !!!" Gagné sur le coup ! En effet, si vous appuyez, la cage se voit aspirer par la trappe du haut mais la chose que vous gagnerez sera alors essentiel. Mais gagné quoi bien évidemment ? Sachant que la seul vérité est que la seul clé qui ouvre la porte de la prochaine étape celle se trouvant dans la cage en acier inviolable.
Tentez votre chance là où il le faut, mais attention !!! La chance n'est pas toujours bonne à la fin. Et un coup de chance quelques fois se résume à rien. Il faut simplement avoir le culot pour la saisir.
Pour votre épreuves réfléchissez, et laissez répondre le maitre du jeu après chaque action sur interrupteur, levier cage etc. Vous avez le droit à plusieurs posts pour réfléchir avec votre compagnon pour trouver la solution.
La chance vous souris quand on joue à plusieurs ! Vous avez de la chance que la cage soit incassable ! Et dernière chose la chance se gagne, et pour l'avoir il faut s'arracher.
Bonne chance à vous, et que la chance soit avec vous !!!
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Sujet: Re: Porte N°2 - La Porte du malheur Ven 11 Fév - 1:37
Scène 1: La Première partie du jeu diabolique
Acte 3- La résolution
Les yeux fixés vers le fond de la salle, il se demandait inconsciemment comment il avait pu accepter de faire un truc pareil, pourquoi avait-il accepté de faire un jeu aussi inutile…Mais curieusement, il attendait impatiemment la suite des évènements, se demandant éternellement quelle bêtise pourrait apparaître devant lui. Les torches frétillaient autour de lui, les ombres valsaient sur les murs, une ambiance sinistre y régnait. L’obscurité, les ténèbres, le noir, par cette gradation ascendante, je veux montrer que l’on ne voyait plus rien, Ao n’arrivait même pas à discerner le moindre de ses bouts de chair que l’on appelle « doigts », pourquoi cette obscurité ?...Etait-ce un piège qu’on lui tendait dans l’espoir de pouvoir prendre pour otage l’un des plus grands personnages de notre ère, pouvoir montrer avec fierté que l’on avait remporté sur le maitre de la nation ardente ?...Il ne le savait guère et laissa jouer la chance.
La lumière réapparut, la scène avait changée, la salle n’était plus la même, devant lui, il pouvait désormais discerner une imposante cage qui gisait au plafond, elle semblait invincible, elle régnait en monarque absolu sur les autres éléments, puis d’un regard discret, il regarda le reste, en dessous de la cage, on pouvait désormais observer du magma comparable à un marais ardent, puis derrière lui, sur sa gauche et sa droite, deux leviers et devant lui, un bouton…Il observa la scène, il allait mettre à épreuves ses compétences logiques, il ferma les yeux, des images filaient à vive allure dans son esprit, ses pensées s’entrechoquaient violemment, il en avait mal à la tête, il rouvrit ses paupières et commença un tour de la dîtes salle afin de pouvoir cerner plus précisément ces éléments du décors.
Le fil, la cage, le bouton…Les images de ces éléments servirent à lui faire comprendre la solution, c’était un piège tout bête qui nous faisait focaliser sur le reste du décor, c’était ingénieux, le créateur de ce casse-tête était à la hauteur de Ao, ce devait être un homme respectable. D’une voix neutre, il lança à son compagnon d’arme :
« Je pense avoir trouvé la solution, déserteur…Si on coupe le fil, la cage tombera, puis après l’avoir récupéré, on pourra récupérer cette chose essentiel. Toi, occupes-toi du fil et du bouton, je m’occupe de la cage. »
Ao, motivé comme jamais, accéléra le pas pour atteindre une vitesse convenable, puis d’un bond sec et rapide, il grimpa sur le mur avec légèreté, le faisant ressembler à une fébrile mouche marchant sur des édifices de béton, il put observer la scène, cet homme marcher vers le mystérieux bouton, ainsi que la lave ardente, qui bouillait sous ses pas, la moindre bourde serait donc fatale et la mort l’attendait si sa solution était erronée.
Une fois au niveau de la cage, il attendit que le déserteur utilise l’une des techniques de son répertoire pour fendre ce fil de fer fébrile et innocent…Le regard vif et aux aguets, il était prêt à faire la partie de son plan. Il fendit le fil, la cage commença sa chute, Ao fit un signe, de l’air grimpa dans ses poumons, puis il le recracha, faisant apparaître une gigantesque boule d’air, tout ceci en disant doucement :
« Fuuton, Renkuudan. »
La cage, grâce à l’impact, parti en direction de la terre ferme, atterrissant avec fracas sur le sol.
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