Porte N°5 , la porte de la peur

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Jouons A Un Petit Jeu

Porte N°5 , la porte de la peur Sans_t13

L’immaculé Mizukage

[ Cher Mizukage , il va sans dire que vous êtes un homme plutôt doué et intelligent , mais l’êtes vous assez pour traverser mes épreuves ? En effet je prends la liberté de vous inviter à un petit jeu , évidemment vous ne serez pas seul , j’ai aussi invité d’autres personnes. Ce jeu est un jeu dangereux où seuls les meilleurs shinobis pourront franchir les épreuves et les énigmes de mes tours , beaucoup de mort seront à déplorer malheureusement … Je vous vois déjà accepter ma demande intrigante pour faire justice sur mes actes de barbarie , soit ! C’est pour ça que je vous invite ! Noble justicier , venait chercher des âmes en peine. Un trésor à la clef ? Bien sur ! La mort ! Hahaha ! Ci-joint à mon message la carte pour trouver l’endroit du jeu , serez-vous assez fou et justicier dans l’âme pour venir seul ? La porte numéro 5 sera la votre.]

Quelle étrange lettre … J’étais en train de trier mon courrier quand je vis cette missive sortir du lot , un parchemin cacheté d’un sceau de cire rouge au poinçon inconnu. Une vieux parchemin craquelé parsemé d’encre noir. Je m’enfonçais au fond de mon fauteuil de Kage à fin d’être à l’aise pour comprendre cette invitation sordide. Est-ce une blague ? Je ne crois pas , cet homme avait frappé en plein cœur en me demandant de faire justice , s’il s’agissait d’une plaisanterie ou d’un réel danger , je voulais en avoir le cœur net. Je refermais le rouleau accompagné de la carte , que je mettais dans ma poche. Je me levais de mon large siège confortable , posa les deux mains sur la table avant de lâcher un soupir d’ennui. Encore une sale journée qui commençait , je pouvais le sentir au plus profond de moi.
J’ouvris la fenêtre de mon bureau comme à mon habitude pour sortir , en ayant pris soin de laisser un message destiné aux Anbus signalant mon absence. Je saisissais la Danse Macabre pour l’attacher à ma ceinture , sans elle , j’aurai peu être un peu de mal et je me sentirais moins complet. Je passa la tête dehors pour sentir le vent , voir si ce dernier m’était favorable. Effectivement il l’était , doux et pur , enivrant mon esprit de bien être. Finalement , ça allait peu être me plaire ! Je poussais sur mes jambes pour sortir entièrement sur le toit du Palais, enjambant le rebord de la fenêtre. Je passais ma main dans mes cheveux caressés par la brise , le regard posé sur l’horizon , je me demandais , dans quel genre de piège allez-je tombais ? Foncer dans la gueule du loup n’étais pas un problème pour moi. Je pris soin de refermer la fenêtre pour ne pas que toute ma paperasse s’envole , anéantissant par la même occasion des heures de travail intensif à trier , ranger et classer des documents. En me retournant pour partir vers mon objectif , je tomba nez à nez avec un Anbu de Kiri. Pris d’une frayeur à en réveiller un mort , je sursauta comme un imbécile. La pluie abondante de la veille n’allait pas faire progresser mon cas dans le bon sens… Le sol glissant du toit m’empêcha de garder un appui stable , je tomba sur les fesses comme un vulgaire poids mort avant de partir en roulé boulet jusqu’au bord du toit ou je fit une chute spectaculaire jusqu’en bas. Je m’écroula sur le sol avec fracas… Quelle honte pour un Mizukage…

« - euh … Mizukage-sama … ? » annonça d’un ton maussade l’Anbu dépité par ma sortie fracassante ,on pouvait imaginer sous son masque la tête désenchantée du pauvre Anbu à qui je venait de briser le rêve du Kage parfait.

Moi je me retrouvais allongé sur le dos , comme un clown dont le spectacle s’était soldé sur un raté, je n’avais pas fier mine alors je me relevais le plus vite possible afin de regardais d’en bas l’Anbu désappointé. Je rétorqua alors afin de me justifier pour rattraper le coup.

« - Haha ! Hahaha ! Plutôt au point mon numéro de cascadeur hein ? Raah ne prends cet air ! C’est fait exprès ! Je compte organiser un spectacle ainsi qu’un banquet pour la fête annuel de la pluie ! » dis-je avec une grosse goutte de sueur glissant doucement le long de mon front.

« - Ah ! Mais ! C’est ça ! Mizukage-sama vous êtes un génie ! Vous pensez que je pourrais jouer un rôle de jongleur dans le spectacle ? Je sais jongler depuis que … »

Avant d’entrer dans son histoire super ennuyante et de m’endormir comme une larve avec la bulle au nez , je le coupais à court pour prendre mon vrai départ.

« -Mais oui bien entendu haha ! Je te laisse ! J’ai des choses à régler , je reviens très bientôt ! Entraîne toi dur pour le numéro !»

{Quel génie ce Mizukage… j’aurai jamais pensé à un spectacle de ce genre , son numéro est vraiment au point , on aurait vraiment dit qu’il ne contrôlait pas sa chute ! Il a tellement de talent et d‘imagination…}

Après de longues heures de marche intensive et ennuyant à mourir, j’arrivais enfin au lieu dessiné bêtement d’un dès sur la carte , l’atmosphère dégagée par l’endroit était vraiment morbide et sombre , j’arrivais devant une sorte d’escalier souterrain vraiment étrange , une sorte de ruine enfouie. J’avançais dans la sombre caverne , descendant prudemment les marches une par une avec ma torche de fortune , le bas semblait être plus éclairé que la descente des marches. Une petite salle en pierre ornée de différent kanji incompréhensible m’ouvrit les bras , cette dernière était équipée de 5 portes , toutes marquée d’un numéro. J’étais pas vraiment honnête avec moi-même en me disant que ne je craignais rien derrière cette porte macabre , mais qui ne tente rien n’a rien , j’empoignais la poignet et poussais la lourde porte de pierre. Cette dernière se referma instantanément derrière moi , me prenant au piège dans une nouvelle salle , me voila fait comme un rat.

Saïyajin Kizujin

[Hrp : Duo masqué ! Lance ton dès et joue de notre destiné !]

L'arrivée du N°3

Un long et périple voyage allait donc commencer. J'arrachai ce kunai de son arbre, avec à son bout accroché une lettre. Qu'allait-il avoir à l'intérieur...

Plutôt dans la matinée, Tousen Yami se leva tôt afin de partir loin de son repaire lui permettant de se retrouver seul. Cette chose en lui se manifestait le plus souvent le matin. Retrouvant les cascades, il s'entrainait fortement dans ces lieux paradisiaques afin d'accroitre sa rapidité de mouvement. Rebondissant sur la matière d'une pureté absolue, Tousen glissa sur plusieurs mètre avant de prendre une posture très bizarre, des yeux se mélangeant à la transparence de l'eau, des yeux se reflétant dans l'immense zone de pureté. Puis le N°5 d'Hametsu agita ces bras devant lui à différents endroits, laissant échapper des trainées de chakra de couleur azure. Après quelques secondes, il stoppa tout mouvement, désactivant son regard blanchâtre pour quitter les eaux ayant ressenti tous les mouvements du jeune Hametsu. Ça chevelure retomba doucement le long de son dos. Un premier pas retrouvant la terre ferme, suivi du deuxième avant de percevoir un bruit de sifflement aigu. Son corps tomba vers l'arrière, et un kunai passa rapidement devant son torse avant de se heurter contre un arbre. Ma tête se dirigea rapidement vers l'endroit où était lancer le kunai. Je vis un homme en blanc, ressemblant fortement à un messager qui disparu dans un nuage de fumée très peu de temps après. Comment avait-il pu me trouver ici ? Hametsu serait-elle en danger ? Je ne devais pas tirer de conclusion hâtives. Je me dirigea alors vers ce kunai, avec à son bout une lettre.

"Aaarrrgh !!! Kssss Ksss !!! Kusoooo !"

***DANS SON ESPRIT***

"Nani ? Ou suis-je ?"

"J'ai enfin réussi à t'emmener ici Nii-san !!"

Je tournai rapidement les yeux vers le son de sa voix, mais je ne vis personne. Pourquoi Nii san ? Pourquoi je ne le voyait pas ? Soudain une autre voix apparu derrière moi, mais toujours pareil. Du son, mais pas de corps. Puis un grand silence avant que je sente comme une lueur de chakra tout proche de moi me dire à l'oreille :

"Tu ne me vois pas car tu refuses de l'admettre !!! Tu es libre de guider ton esprit. Mais un jour peut être tu accepteras réellement qui tu es au fond de toi !!! A ce moment là, nous cohabiterons... A la prochaine nii-san !!!"

***FIN***

La forêt et la cascade réapparu devant moi. Un mal de tête horrible surgit alors de nouveau, comme tous ces matins où je subissait la même chose. Mais cette fois-ci, j'en avais appris un peu plus. Tous ces mots se gravèrent dans ma mémoire. Je fis abstraction de tous ça, et je repris mes esprit tout en me concentrant de nouveau sur ce kunai arrivée de nulle part. J'arrachai ce kunai de son arbre, avec à son bout accroché une lettre. Qu'allait-il avoir à l'intérieur... Je l'ouvris délicatement arrachant le sceau à la cire rouge et je lis alors :

Citation :: Tu te poses des questions à propos de tes drôles d'état ? Alors viens me rejoindre en ces lieux. Je te donnerai des réponses, mais il va falloir que tu te surpasses pour franchir mes épreuves afin que je vois si tu es prêt à recevoir mes réponses. Tout n'est pas facile à gagner...

Sans attendre, il prit la direction des lieux marqués sur la carte. Tousen n'était pas quelqu'un de très chiant, dès qu'il y avait de l'action, il y fonçait. De plus ici, on prétendait répondre à ces questions. Une chose de plus pour y aller.

Un long et périple voyage allait donc commencer. Après de bonnes heures de marche j'aperçus une énorme bâtisse et je me dirigea vers l'endroit tant attendu. J'arrivai devant une sorte de cave, avec des escaliers s'enfonçant de plus en plus dans l'ombre. Au dessus des marches je vis un kanji intitulé "Peur". Un sourire se logea sur le visage de Tousen. La peur, quelque chose qu'il ne connaissait pas. Ou du moins pas encore. je descendis les escaliers et sans m'arrêter je poussai la porte afin de pénétrer dans la salle. la porte se referma brusquement et j'aperçus un shinobi se tenant devant moi regardant un peu partout. Je vis sur son front le bandeau de Kiri. Pourquoi un shinobi de Kiri se tiendrait là devant moi, au même endroit, comme si il découvrait également les lieux. Je me stoppai regardant le Kirien dans les yeux et je dis froidement :

"Es-tu l'une de mes épreuves ? Pourquoi es-tu là ? J'ai reçu un papier stipulant de me joindre ici... Je n'en sais pas plus. Et toi ?"

Essayant de creuser afin de bien cerner la situation, je pris sur moi et lui posai toutes ces questions. Qu'allait-il me répondre , dans tous les cas, j'étais prêt pour le combat. J'aimai ca...

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Leçon Numéro 1° : Ne Pas Pisser Sur Ses Pompes

L’immaculé Mizukage

Qu’allait-il advenir de moi maintenant que je suis prisonnier de ce trou à rat … A vrai dire , je n’avais pas réfléchi avant d’entrer dans cette sombre pièce troublée de kanjis incompréhensibles pour la plupart. J’effleurais les écritures sur les murs de ma main comme pour mieux comprendre ce dans quoi j’étais tombé. Il semblerait que le seul moyen de sortir soit de terminer ce jeu auquel j’étais invité , patience est mère de sûreté , il me fallait donc attendre la suite des événements afin de voir évoluer ma situation. Après tout , c’était un jeu , attendons donc de voir la suite.

J’avais beau regarder tout autour de moi , essayer de comprendre ce qui me clouait dans cette prison de pierre , attendre qu’un signe viennent , que quelqu’un m’annonce ce que j’avais à faire … mais non , si personne ne se manifestait dans les minutes qui suivaient , je me transformerais et je sortirais par la manière forte ! J’en avais assez de tourner en rond dans cette pièce lugubre aux allures de tombeau , des toiles d’araignées dans chacun des coins de la pièce, et si je m’y prenais les cheveux dedans ? Savez-vous au moins combien d’innombrables minutes cela prends de préparer une chevelure telle que celle-ci , avec un rendu sans pareil égale de beauté ? Je marchais de long en large en traînant les pieds , je commençais à saturer , et pour en rajouter une couche , j’avais énormément envie d’uriner…
Serrant de ma main mes parties génitales pour ne pas déverser tout sur moi , je cherchais une solution pour me débarrasser de cette envie incommodante.

« - oh et puis hein ! J’ai pas le choix et tant pis pour son épreuve ! Je pisse sur le matos ! »

Je courrais dans un coin de la pièce pour y affairer , prenant soin de m’éloigner assez pour ne pas asperger mes bottes. C’était un véritable plaisir d’uriner quand on se retient depuis une plombe ! Je levais la tête , fermant les yeux pour pousser un soupir de soulagement quand une araignée aux longues pattes poilues tomba sur mon front. Y’a-t-il plus horrible insecte qu’une araignée ? Elles n’ont rien pour plaire les pauvres. Je secouais fermement la tête pour la faire partir , mais rien n’y faisait , elle s’accrochait à moi comme une moule sur un rocher. Je remontais mon pantalon pour avoir les mains libres et pouvoir me débarrasser de cette sale bête a 8 pattes. Je la retirais de mon front en prenant soin de ne pas me faire mordre par ses crochets venimeux à souhait , puis je la reposais à terre sans lui faire de mal. C’était la seule compagnie que j’avais après tout …

« -Sale bête , tu choisis ton moment pour me sauté dessus ! Désolé je ne suis attiré que par les femmes , et puis huit pattes… je ne saurais quoi en faire hé hé. »

Je regardais attentivement mon empreinte d’urine sur le mur , un vrai artiste dans l’âme , quel somptueux dessin j’avais fait là. J’entendis la porte craquer , sans doute quelqu’un de l’autre côté allait lui aussi faire son apparition dans cette prison de l’ennui , une épreuve ? Un allié ? Peu importe , je n’allais pas cracher sur la compagnie. Un homme entra dans la pièce , un grand caïd aux airs louches , un regard à vous pétrifier le slip ! Il me dit d’une voix roque et froide :

« Es-tu l’une de mes épreuves ? Pourquoi es-tu là ? J’ai reçu un papier stipulant de me rendre ici… Je n’en sais pas plus. Et toi ? »

Je n’en savais pas plus que lui , à part peu être qu’il s’agissait d’un jeu … était-ce vraiment la peine de lui dire , je ne crois pas. Malgré sa silhouette pas rassurante du tout , j’avais un bon feeling et il n’avait pas l’air de vouloir se lancer dans un combat sans connaître la situation. Cela tombait bien , car moi non plus. Je me grattais derrière la tête de ma main gauche , puis esquissant un sourire gêné , je levais ma main droite comme pour faire un petit coucou avant de prendre la parole :

« -Alors toi aussi tu es tombé dans ce trou à rat ? Je n’en sais pas plus que toi , j’attendais patiemment qu’on me donne ma soit disant épreuve ».

Saïyajin Kizujin

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Alors que les deux êtres rentraient timidement dans cette sombre salle et que cet homme à la chevelure pure et immaculé finissait d’uriner sur l’un des beaux murs de l’une des salles mystérieuses de ce maître du Genjutsu, la lumière vacilla, puis…Plus rien.

Le noir totale, le vide absolu, le néant, on ne pouvait même pas voir ses propres doigts, puis après un petit grognement bestiale, la lumière se ralluma et, devant vous, une bête terrible, cornu, des dents acérés, les yeux flamboyants, apparu avec nonchalance, vous regardant avec un air hautain. Il regarda la salle puis dans un petit cri, il murmura :

Spoiler:

« Je suis Satan, gardien du péché capital le plus démoniaque, la colère et vous, disparaissez et cherchez la clé, la clef de la porte qui vous emmènera dans la partie suivante. »

Un tourbillon apparut derrière vous et vous aspira avec violence pour vous emmener dans un monde lointain, un monde inconnu.
La scène ? Un champ de bataille…Une immense champ de bataille où des hommes aveuglés par la colère se livre bataille avec une rage absolu, bien sur, vous vous en doutez, vous êtes désormais la cible de ses deux camps, votre recherche est donc retardé par ces hommes.
Avant de vous laissez chercher cette clé, la clef, un mot ayant de multiples définitions, un mot voulant dire tant de choses et qui permet également beaucoup de possibilités.

Il y a tout d’abord ce champ de bataille, qui forme un rond immense, puis sur la droite et sur la gauche, deux long couloirs, ou plutôt route, qui mènent au centre de commandement de chacun des camps, la clé de la victoire, puis au bout de chacun de ces couloirs, on retrouve deux bâtiments sur la partie inférieur de ces routes, l’un représente le marchand d’armes, qui forgent ce qui permettra à la victoire et ensuite les hôpitaux, des choses importantes qui permettent à garder notre bien le plus essentiel.
On dit souvent que les chefs sont les clés de la victoire, et la victoire est-ce la clé ?
Et pour finir avec ces bâtiments, il y en a deux derniers, un qui se trouve à l’extérieur droit et gauche de l’anneau, deux bâtiments qui commandent l’accès à la région de la bataille.

Si vous aidez l’un des deux camps, vous gagnerez quelque chose d’essentiel pour la suite, car la dextre et l'architecture sont peut-être lié mais il n'en reste pas moins essentiel.
____________________________________
Pas de lancé de dés.

Bonne chance à vous, et surtout chercher la clé, car la clef est ce qui est le plus important.

La clé est la clef

Je senti comme une aspiration me saisir le corps avant de pénétrer dans un tourbillon très spécial, me retrouvant au côté de mon coéquipier, au beau milieu d'un champ de bataille où je vis des soldats livrer bataille. Je ne pu dire grand chose pour l'instant, simplement :

"Je me nomme Tousen Yami, veux tu faire équipe avec moi afin que nous arrivions jusqu'au bout !!!"

Soudain, je fis un geste de mon corps sur le côté afin d'éviter un énorme coup de sabre essayant de me trancher le corps. Devais-je faire face aux deux camps, où devais-je aider l'un des deux ? La voix de cette créature m'avait marqué. Je devais trouver une clé dans ces lieux pour pouvoir m'échapper. Mais l'épreuve fut difficile, réfléchir avec ces personne essayant de découper ton corps n'était pas chose aisé. Mais nous étions deux et je cria alors à mon partenaire prit également dans la bataille :

"Je pense que nous devons trouver une clé ! Et pour trouver des objets je crois bien que tu es tombé sur la bonne personne l'ami !!! A mon signal, couvre moi, et protège moi, il faut que je me concentre..."

Je venais d'ors et déjà de trouver une solution, une solution afin de connaitre toute la zone et de l'enregistrer en moi, chose que seul moi pouvait faire grâce à mes yeux. Je vis cependant une horde d'homme arriver sur moi. Je fis un bond vers l'arrière et je leur envoyaient des coup de pied et coup de poings afin de les assommer, mais leur colère semblait être l'antidote contre la douleur. je bougeais beaucoup esquivant les coups de ces simples soldats. Mais leur nombre était grand, et épargner la vie des gens ne m'était pas familier. C'est alors que je vis une flèche arriver droit sur moi. Bizarrement, je ne l'esquiva même pas. Me concentrant sur cette flèche, je parvins à la saisir grâce à mon avant bras. En effet, cette flèche venait de me transpercer l'avant bras de tel façon que mon bras puisse laisser échapper du sang. Je la retirai très vite, et je serrai mon bras droit tout en tournant sur moi laissant tomber les gouttes de sang tout autour de mon corps sur le sol, et une tomba devant moi. Qu'allais-je faire ?

J'attendis la venue de plusieurs soldat et à ce moment, je posai mes mains au sol et criai alors :

"Appparition sanguinaire, Ketsueki no Hasaki !!!!"

D'énorme pointe d'un rouge vif jaillirent du sol plantant un maximum de soldats se trouvant au tour de lui. C'est alors qu'il criai :

"Vas-y protèges moi maintenant !" Byakugan !!!

Mes yeux devinrent blanc, et mes nerfs furent maintenant apparent le long de mes joues et de mes tempes. Mon Dojutsu venait d'être activé, et je profitai de toutes ces pointes me protégeant pour me concentrer sur les environs. Je pouvais voir plusieurs bâtiments, avec deux grandes routes sur les côtés. Bizarrement les deux zones étaient totalement identiques. Tout semblait se refléter. Je ne vis pas grand chose au niveau des routes, ou des bâtiments d'armes ou des hôpitaux mise à part des soldats qui faisaient le va et viens pour prendre des armes ou guérir leur blessure avant de retourner sur le champ de bataille. En avaient-ils pas marre de faire sans arrêt la même chose ? Je pense pas. De plus, deux derniers bâtiments avec de grandes portes semblait faire entrer encore et encore des assaillants se joignant à la bataille. C'est alors que je me suis dit que combattre les soldats ne résumait à rien étant donné qu'il nous ferait que perdre nos forces, et notre fatigue. La clé n'était donc pas dans la victoire du combat, mais elle était tout autre.

Je scrutait maintenant plus en détail ces deux derniers bâtiments, et c'est alors que je vis accrocher au plafond des deux bâtiments, une clé pendu. Cette clé n'était même pas posé au milieu de la salle, mais plus au centre de gravité de celle-ci. C'est alors que les paroles du démon me mis sur la piste. Les mots clés sont la solution à tout ça. Autrefois on appelait clef une place forte commandant l'accès à une région ou un pays. C'est donc c'est deux bâtiments là-bas. De plus cette clé étant suspendu au niveau du point de gravité de ces bâtiment ressemble fortement à une clé de voute, c'est à dire une pierre principale, qui soutient tout l'ouvrage d'un édifice. La solution ne résidait donc pas dans la victoire de ce combat, mais dans la signification des mots "clé" dans un environnement comme celui-ci. Sans mon Byakugan je n'aurait pu trouver la solution à cette épreuves. je fis alors un grand bon en avant tout en évitant les assauts des soldats. et je dis alors à mon coéquipier m'ayant fortement aidé le temps de ma concentration :

"Suis moi, j'ai trouvé la clé, je sais ou allé ? Dis moi simplement gauche ou droite ?"

Les deux se ressemblant à l'identique j'attendais simplement la réponse de mon pseudo ami pour me donner une direction à prendre. Désactivant mes yeux nous partîmes alors vers un de ces bâtiments pour arracher cette clé suspendu à l'endroit où une seule pierre retient tout l'édifice. Arriver là-bas, mon coéquipier attrapa la clé très vite. Nous regardant dans les yeux avec cette clé en main, j'attendis de voir ce qui allait se passer. Une chance pour notre duo que le Byakugan soit avec nous. Encore une chose qui me montrai que tout ça n'était pas vain. Il me servait beaucoup... La fin était-elle proche ? Qu'allait-il avoir après cela ?

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Thème de lecture

Leçon Numéro 2° : Avoir Un Bon Feeling !

L’immaculé Mizukage

Dès lors que j’avais terminé de faire connaissance avec mon compagnon de fortune , la lumière s’éteignit , nous laissant dans le noir total , à tel point que voir ses propres doigts était une épreuve. Puis la lumière se ralluma , une bête démoniaque nous faisait face , une sorte de bouc humanoïde venu tout droit des enfers , une créature digne des plus grands démons du monde impur. Il nous dictait sèchement une énigme à résoudre avant de nous aspirer dans une illusion des plus réels. Je me retrouvais au beau milieu d’un champs de bataille ou le sang coulé à flot , ou seules la haine et la colère était de mise , la flamme de la guerre brûlait l’âme de ces pauvres soldats réduits à l’état de bête , contraints de faire la guerre sans raison apparente. Je me retournais vers mon camarade d’énigme pour m’assurer qu’il était toujours à mes côtés , il m’indiqua son nom et me demanda si je voulais être son partenaire de jeu. Évidemment je ne crache jamais sur la compagnie alors je répondais tout simplement que j’en étais ravi. Mais à peine eu-je le temps de finir ma phrase qu’un soldat tenta de m’embrocher de sa lance à la lame émoussée , je sauta sur place, décollant les deux pieds du sol avant de retomber fermement sur la cette lance pour la plaquer au sol.

« - Ola ! Doucement garçon ! Ça coupe ces choses là tu sais ! Tu pourrais blesser quelqu’un ! »

J’envoyais ma jambe dans un élan circulaire afin de gifler sa tête de mon pied. Je pouvais sentir sa tempe céder sous la férocité de mon coup brutal , le projetant quelques mètres plus loin , inconscient sur le sol , peu être y avais-je étais un peu fort , mais après tout , ce ne sont que des illusions sans vie véritable. Mon compagnon me dicta de le couvrir à son signal après m’avoir annoncé qu’il était le partenaire idéal pour trouver des objets. Je n’en doutais pas une seconde , mais j’avais beaucoup à faire avec tout ses soldats frappant n’importe ou et n’importe comment. Je savais qu’il se préparait à faire quelque chose mais j’étais trop occupé pour regarder précisément ses mouvements , j’essayais tant bien que mal de le couvrir pendant qu’il lançait un jutsu défensif et regardait attentivement l’horizon de ses yeux devenu blanc. J’incantais un jutsu en effectuant quelques mudras pour créer une série de 3 clones de foudres , Nous nous postâmes aux quatre coins de notre allié pour le protéger. Je dégainais de son fourreau une de mes deux lames de la danse macabre , aiguisées à souhait , pour repousser les vagues incessantes de ses guerriers sans noms.

« - Tu vois quelque choses camarade ? C’est pas que je m'ennuie mais ces misérables m’empêche de boire correctement mon saké ! » disais-je en essayant de boire ma fiole de saké tant bien que mal pendant que j’étais affairé à parer les nombreux coups d’épées que je recevais. Je m’en sortais presque bien mais il fallu qu’un de ces soldats me bouscule au point de renverser du saké sur mon torse , ce qui avait eu don de me foutre légèrement en rogne.

« - Ahhhh ! Une tâche d’alcool sur mon maillot préféré ! »

J’esquivais un coup d’estoc en me positionnant sur le côté et je planta mon épée dans le bide de ce malotru qui avait honteusement renversé mon saké sur moi , puis je la retirais aussi sec afin de parer un second coup d’un autre guerrier. L’homme illusoire que j’avais empalé s’écroula sur le sol , gisant inerte dans son propre sang , quand soudain je m’aperçus que je n’avais pas de maillot , il est vrai que j’étais bien souvent torse nu …

« - … Gomen ! »

Alors que j’étais en plein dans ce combat interminable , mon allié s’exclama :

« - Suis moi ! J’ai trouvé la clé , je sais où aller ! Dis moi simplement gauche ou droite ?»

Suite à sa remarque et à sa découverte fraîchement tombée , je suçais le bout de mon doigt et le pointais en l’air comme pour connaître d’où venait le vent , stupide idée évidement il n’y avait pas de vent dans cette illusion ennuyeuse. Bref , je décidais quand même de faire comme si j’avais senti quelque chose , et je criais « Droite ! » sans savoir pourquoi j’avais choisi cette direction , mais le destin nous mènera ou bon lui semble , j’avais confiance en mes talents de survies , peu importe le piège dans lequel nous tomberont , j’y ferais face avec témérité ! Nous allions donc vers la droite , dans une sorte de bâtisse qui semblait réguler l’accès à une autre région , et sans problème grâce aux yeux de Tousen , nous trouvions cette fameuse clef. Je regardais mon ami de passage dans les yeux et nous attendions que quelque chose se déclenche ! Et pourvu que ça ne soit rien d’autre que le son de la victoire !

Saïyajin Kizujin

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