Le projet 217 [ En cours ...]

Nom et Prénom : Kiron
Surnom : /./
Sexe : Masculin
Age : 18 bougies
Nindô : Cela ne sert à rien de courir ou de marcher si je te rattrape ...
Village : Konoha Ko Kuni
Clan : Inconnu. Kiron possède un kekkei genkei dont il ne sait d'où provient la capacité.
Rang et grade souhaités : Vagabond de rang S.

• Description psychologique de votre personnage (5 lignes minimum) :
  
  

  La psychologie varie selon les enveloppes corporelles, elle dénonce la capacité de penser. Certaine personne pousse cette capacité jusqu’à son paroxysme étant une preuve de génisme. Elle qualifie le raisonnement envers ce que l’on voit ou ressent. L’esprit ne donne de réponse aucunement précise, les questions que l’on se pose ont une infinie possibilité de réponse.
  
  La psychologie nous donne la propriété de juger ce qui nous entoure et de ressentir chaque ornement de la vie. Réfléchir, penser est un pouvoir psychique elle regroupe l’instinct et l’intellectualisme. Cette dernière peut parfois montrer une dégénérescence ce qui est particulièrement pathologique.
  
  Kiron aime particulièrement songer ; ce qui explique cette envie d’être seul dans les moments difficiles. Son caractère n’est pas mauvais, il est plutôt d’un alignement saint. Toujours décontracté et de bonne humeur, il ne cache jamais un sourire. Il est aussi extrêmement poli envers ses interlocuteurs bien que si on le provoque il peut être très vulgaire et faire preuve de sarcasme. Il peut faire preuve d’honneur contrairement à quelques lâches qui préfèrent laisser le beau temps arriver.
  
  Cependant, il ne faut pas confondre ses traits sympathiques avec un style peace and love car de toutes les personnes en ce bas monde, cette angélique personne peut-être des plus cruelles. Occire de sang-froid est d’aucune façon un problème, tuer est une décision qu’il ne prend jamais tangiblement, c’est une décision qui peut subvenir à un coup de tête soudain. En revanche, il ne semble pas désireux de devenir le plus puissant du monde, il veut juste faire ce qu’il a envie de faire et qu’on ne lui prive aucunement de sa joyeuse liberté.
  
  Kiron peut se montrer très direct et frapper en plein point sensible. Il a horreur des ordres … Son opinion envers le système ninja est intéressant, il utilise le terme de système incomplet. Ce personnage se comporte étrangement avec ses semblables humains, il semble jouer avec et se moquer d’eux constamment. Chacun de ces mots sont une pique, agaçant de nombreuses personnes à ce jour.
  
  Les combats, c’est pas trop pour lui, ce jeune présomptueux préfère éviter de croiser le fer si cela relève du possible et ce bien même qu’il se trouve être un redoutable combattant. Il ne supporte pas les balivernes incessantes d’Aragornaji, un nodachi qui parle, ce nodachi ne possède aucun pouvoir. Il frappe sans arrêt Aragornaji contre une consistance solide pour le faire taire. Monsieur est un amateur de la provocation et aime faire des doigts justes pour ébouillanter un petit peu, histoire de dire qu’on prépare les nerfs au choc.
  
  Son plus grand pêché est d’apprécier les demoiselles jusqu’à en fondre d’excitations. Considérer les courbes les plus parfaites dans les moindres recoins, ces formes délicieuses qui mettent en haleine n’importe quel homme se retrouvant devant ces bombes humaines. Sa plus grande faiblesse est la femme.
  
  Sans doute, Kiron est très gourmand et aime les sucreries, son estomac est par ailleurs conséquent puisqu’il mange pour plusieurs personnes à la fois sans prendre ne serait-ce qu’un gramme. Ce shinobi peut paraître parfois paresseux et avoir une flemme d’exécuter ses occupations Il n’a aucune croyance religieuse et pense que Dieu ne sort que des légendes que quelques malins ont inventé, toutefois il dit suivre son destin bien qu’il dit aussi être capable d’inverser le processus. Sa forte personnalité et son envie de vivre font de lui quelqu’un d’insensible au dessein … L’argent, nombreux sont ceux qui font de l’argent leur bonheur, Kiron s’en sert que très peu du moins, il fait payer les autres à sa place. Les billets n’ont aucune estime pour lui.

• Description physique de votre personnage (5 lignes minimum) :

• Histoire de votre personnage(15 lignes minimum) :
  
  

  Chapitre I : Légende d'automnes.

  
  Par un beau matin d’automne, les feuilles préparaient leurs dormances. Les villageois commençaient à animer le village. L’odeur de l’air était si douce qu’un léger gémissement s’échappa des lèvres de Kiron qui changea de position pour dormir encore un peu. Le réveil sonna, il fut interrompu par le poing féroce du jeune garçon qui réduisit à néant son réveille-matin. Il se leva et s’habillait pour descendre dans le salon où l’attendait sa tendre mère. Sur la table se trouvait des biscuits dans une coupole de bois et une tasse dont la fumée jaillissait, c’était un chocolat chaud. Ces-derniers temps les jours se faisaient monotones, aucun évènement. Une paix durable comme l’avait toujours souhaité le Tsuchikage. La dégustation du petit-déjeuner se faisait dans un silence profond toutefois comme à son habitude il creva cette atmosphère froide, buvant à tâtons son chocolat. Il provoquait sa mère en aspirant à distance le liquide créant un bruit impoli voire désagréable. Elle ne répondit guère à ces agaceries et rangea son bol dans le l'évier et partit dehors tendre le linge. Kiron souffrait de ce silence amer, il n’y avait jamais de discussions, juste des bruits anodins par-ci par là. Comme à son habitude pour combler la solitude qu’il éprouvait, il sortit de la maison pour rejoindre la montagne et y songeait là-bas, sans aucune présence nonchalante, juste un réconfort auprès de la mère nature. Néanmoins le ciel si azur commençait à s’assombrir, les cirrus occultaient les rayons du soleil plongeant Iwa dans une obscurité. La pluie déferlait sur le village compromettant cette marche jusqu’aux Collines d’Iwa.
  
  Toutefois, il remonta dans sa chambre plongeant sa tête sous ses draps en fondant en larme. Il pleurait à sanglot et n’arrivait plus à supporter ces ignorances, Kiron n’avait personne vers qui se tourner. Et encore trop jeune, il ne pouvait partir d’une valise oubliée …Puis subitement un bruit de détonation se fit entendre nouant l’estomac du garçon. Un homme entra dans la maison attrapant la mère et la torturant de coup, l’homme demanda où était le petit. Surpris, le garçon descendit en proférant de lâcher sa mère. L’homme empoigna les cheveux du petit-homme et traînait Kiron en dehors de la maison. Sa mère tentait d’arracher Kiron des mains de ce personnage. Alors qu’enfin Kiron se trouvait être en dehors de l’habitat, un immense rocher s’abattit sur la maison où la mère était restée. Les yeux du garçon grossirent et son cri aigu sonna le départ des volatiles vers d’autres horizons …
  
  Il répétait sans cesse ce mot « maman », ce terme si important pour un enfant et pourtant si tôt, il dut oublier ce mot de son vocabulaire. Elle mourut sous les décombres, sous les yeux d’un fils effaré par ces évènements qui se succédaient les uns après les autres … Le shinobi emmena Kiron sous terre où d’autres enfants y étaient. Loin de s’imaginer que le Tsuchikage avait décidé de mettre à l’abri les enfants pour la seule et unique raison, former une escouade d’élite qui fera renaître le village d’Iwa. Sous la terre, il pouvait entendre le bruit des explosions, des pas qui s’accéléraient, des minutes qui s’écroulaient réduisant au silence le plus fade qui soit ; Iwa. Chaque môme pleurait bien qu’ayant été à l’abri des images horribles, ils avaient été témoins du bruit de l’annihilation d’un peuple. L’ambiance paraissait morose et les adultes aussi arboraient un visage triste. Aucun bruit, plus rien juste encore le son des cris qui résonnait encore dans les oreilles de chacun. Tout c’était passé si vite que tout le monde n’arrivait pas à y croire et Kiron ne cessait de chuchoter ce mot qu’était « maman ». Enfin après de longues minutes de silences, une femme apparut pour ordonner la mise en détention de chaque enfant suite aux ordres du Tsuchikage. La formation de l’Escouade XII était sur le point de voir le jour, chaque enfant allait être entraîné et devenir de véritables machines de guerres, pour que le nom du Tsuchikage ne dépérisse pas. Les enfants, menottés, étaient en rangs, ils marchaient vers un laboratoire mis en œuvre secrètement sous les ordres du Tsuchikage. Une fois à l’intérieur de ce laboratoire, la première chose que sentaient ces enfants, était cet effluve méphitique. Ce laboratoire avait enfermé de nombreux patients, tous morts à cet endroit. Le laboratoire n’avait jamais été purifié par la suite expliquant cette odeur nauséabonde flottant dans l’air.
  
  En arrivant chacun des enfants se faisaient tatouer un numéro puis étaient enfermés dans des geôles avec un sac comportant de la nourriture pour un mois. Ces sacs contenaient des morceaux de pains pour ce qui était de l’eau, elle était donnée dans des sots, qui, comme les sacs de nourritures devaient durer un mois. Kiron eût pour numéro, le numéro 217. Il fut enfermé dans une geôle avec une fille d’à peu près son âge. Elle avait des yeux gris et une chevelure blonde attirant particulièrement ce jeune garçon qui voulait cacher son attirance envers elle. Il préféra tourner la tête dans un autre sens. La jeune fille ne comprenait que trop peu la réaction de Kiron. L’effervescence dans ce laboratoire où devrions-nous dire prison, commençait à s’estomper. Les enfants ne pleuraient plus et la nuit semblait s’écrouler en même temps que les lumières du laboratoire s’éteignaient. Kiron ne sommeillait point, ses yeux fixaient toujours ces barreaux qui le retenaient prisonnier. Aucun garde dans les alentours, il s’approcha des barreaux en tentant de les briser en secouant les barres de fers. Soudainement, les lumières s’allumèrent à nouveau et un homme défilait parmi le couloir en frottant son fouet contre les barreaux de chaque geôle, il frappa l’un des doigts de Kiron mais, ce-dernier ne lâcha pas prise, il continua de secouer, secouer jusqu’à ne plus en avoir la force, les barreaux. Les coups se faisaient de plus en plus violent néanmoins il ne cédait aucunement. Alors, Kiron attrapa le fouet par pure chance et tirant d’un mouvement sec le fouet, il fit basculer l’homme en avant le cognant contre les barreaux de sa geôle. Kiron lui rentra un de ses doigts dans les yeux, un cri horrible retentit dans tout le laboratoire. L’homme qui était venu pour le torturer, venait de perdre un œil. Ainsi d’autres hommes arrivèrent, ouvrant la geôle de Kiron et l’emmenant voir celle qui était au cœur de ce projet. Une femme à lunette au visage très austère asseyait sur son fauteuil, tournait avec ce même fauteuil sur elle-même. Jusqu’à l’entrée de Kiron où elle ne tourna plus, elle s’arrêta précisément au même moment où il était entré. Elle était devant son bureau et attendait le rapport.
  
  « Il a crevé l’œil de l’un de nos agents qui était venu le fouetter pour tentative d’évasion. »
  
  Elle dit.
  
  « Voilà un jeune garçon intéressant. J’ai son dossier sous mes yeux, son père semble être mort au front. Apparemment, son père était un ninja d’exception, un talent inné. Et j’ose peine à croire que nous avons devant nous une sorte de prodige. Emmener le au sous-sol, je veux une torture qui dure toute la nuit pour avoir troublé ma tranquillité. S’il meurt de ses blessures, jetait le quelque part »
  
  Kiron ne réagissait pas, il savait que cela ne servait à rien et qu’il ne ferait qu’envenimer la torture s’il tentait quoi que ce soit. Il descendait les escaliers lentement, chacune des marches relançaient son cœur, il avait peur. Sauf qu’il était trop fier pour le montrer et il préféra affronter le danger comme le ferait son père. Suspendu en hauteur, les hommes commençaient la torture en lui fouettant les omoplates. Kiron ne poussait aucun cri, juste des grognements, ce jeune prodige n’aimait guère la douleur. La nuit venait enfin de se finir sous un dernier claquement de fouet. La femme à lunette descendit lui rendre visite. Kiron était ivre mort, sous ses pieds, c’était un bain de sang. La responsable était étonnée qu’il ne soit point mort. Elle ordonna de le détacher et le remettre dans sa geôle. Tout le monde regardait l’état désastreux de Kiron et la jeune fille avec qui il était enfermé, ne savait que faire. Elle lui demandait si tout allait bien mais, il la rejeta. C’était une question conne … Qui irait bien à l’article de la mort ?